07 janvier 2007

PHOTOS DU 13 AOÛT


































7 janvier 2007, Annick

petite annonce sur les photos du 13 août



PHOTOS DU 13 AOÛT
Plusieurs désirent pourvoir voir un fichier-photo du 13 août qui puisse être consulté sur le blogg.
Cela viendra mais les jeunes qui ont les connaissances techniques pour le faire manquent de temps. Les moins jeunes ont le temps mais pas les connaissances. Je fais partie de ces derniers.
Je vais néanmoins essayer de mettre quelques photos, sous toute réserve, en créant un fichier séparé de celui-ci intitulé "PHOTOS DU 13 AOÛT". Les photos ne sont pas réduites.
Par contre, en septembre dernier, j'ai pu mettre les dessins réalisés au cours de l'atelier de peinture qui étaient une des activités du jour. Christoph S avait réduit les photos pour en faciliter le transfert sur votre ordinateur.
Merci à tous ceux qui sont venus le 13 août. Nous étions 210 sur les 300 des descendants de Gaston et Marie de Beauchaine avec leurs familles.
Merci à ceux qui m'ont envoyé des photos, dont Alban, Joëlle, Dominique, Odile, Catherine, et qui peuvent revoir certaines de celles-ci dans ce blogg.
J'ai une sélection d'environ 150 photos. Si vous en avez quelques unes de particulièrement réussies que je n'ai pas, je vous serais trÈs contente si vous me les envoyez. Mon adresse de mail est annick@gaumes.se
Annick
Djursholm, le 7 janvier 2007

13 août Compte-rendu



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13 août Compte-rendu
060911 Annick

JOURNÉE DES GAUMES
13 août 2006


La propriété des Gaumes fut achetée en 1923 par Gaston Isle de Beauchaine et son épouse, Marie, née de Lancesseur, leurs enfants ayant alors de 11 à 22 ans. Gaston et Marie eurent 5 enfants, 30 petits-enfants, 90 arrières petits-enfants. Les deux générations suivantes ne peuvent être encore comptées. En incluant conjoints et partenaires, c’était 300 personnes de la descendance de Gaston et Marie qui étaient invitées à la Journée des Gaumes du 13 août 2006.
Avant tout cette journée devait nous offrir le plaisir de nous retrouver et d’apprendre à connaître quelques nouveaux membres de la famille élargie. Mais de plus nous, les cousins de Beauchaine restés sur place aux Gaumes ou tout à côté, nous voulions donner l’occasion à tous nos autres cousins de reprendre contact avec les lieux et rappeler ainsi de bons souvenirs de jeunesse. Enfin il nous a paru amusant, et même important, de présenter à tous les enfants, petits-enfants et alliés ce centre familial que nos grands-parents avaient construit. Il s’agit de nos racines communes. Une arme indispensable aux jeunes pour faire leur chemin dans la vie est de contribuer activement et consciemment au changement. Un tel dynamisme est grandement facilité si les jeunes connaissent - et reconnaissent - leurs racines. Ils peuvent alors utiliser le passé comme un tremplin pour l’avenir. Une tradition qui ne change pas meurt. Nous espérons que les Gaumes sont et resteront une bonne illustration de cette évolution de la tradition. Gaëtan, devenu propriétaire de la propriété après son père, se désolait parfois à la pensée que celle-ci serait délaissée après lui. En effet, l’exploitation agricole a bien disparu. En contrepartie et en accord avec les tendances actuelles, ce sont retraites et loisirs qui sont les deux composantes principales de l’activité aux Gaumes. Les Gaumes misent sur une tradition dynamique qui établit le changement dans la continuité.

La journée du 13 août débuta par une messe à Eglise Neuve d’Issac. A l’entrée, un panneau rassemblait une douzaine de photos de mariage de la famille, toutes prises sur le parvis de la même église, le premier mariage étant celui de Gaëtan et Jacqueline en 1927.
Les 22 disparus de la famille depuis 1923 étaient présents à notre mémoire, tous ceux partis après une longue vie bien remplie et tous ceux partis beaucoup trop tôt.
L’Abbé Naulin qui a célébré tant de nos cérémonies familiales se chargeait d’officier, satisfait d’avoir l’aide de quatre enfants-de-coeur en herbe, dont celle de Marion qui avec un peu de mal parvenait tout juste au niveau de la table d’autel. Sophie de Revel dirigeait l’animation de la messe. Elle-même ainsi qu’Anna Sjögren et ses enfants, Sissela (dite « la petite »)et Victor, chantaient. Une fois de plus le splendide Ave Maria de Gounod chanté par Anna résonnait dans cette église.
Ce fut ensuite l’acceuil aux Gaumes. Une troupe d’adolescents dirigeait le parking. A l’acceuil devant la grange quatre ou cinq jeunes femmes pointaient et informaient. Nous savons ainsi que 237 personnes ont participé à cette fête de famille (y compris l’imprévu de neuf fanfarons en fin de journée) dont 206 de la famille des descendants de Gaston et Marie. De leurs 30 petits-enfants, c’était donc 21 qui avaient pu se rendre à cette réunion plus de 50 ans après la mort de Gaston et plus de 30 ans aprés celle de Marie.
Certains s’étaient inquiétés de savoir comment occuper les deux ou trois heures entre la messe et le pique-nique. Le programme prévoyait le choix entre une exposition de panneaux et un jeu de questions.
Les panneaux présentaient des textes et photos sur les bâtiments, leur historique familial ainsi que d’autres aspects de la vie des Gaumes depuis 80 ans. Une généalogie faite par Luthold et rassemblée sur un seul volet permettait à chacun de se repérer.
Le jeu était une chasse au trésor préparée et dirigée par Sissela Sjögren (« la grande ») et Christoph Streissler. Outre l’amusement, le but était de créer ou de reserrer des contacts entre grands et petits, âgés et jeunes, habitués des Gaumes ou non. Il fallait savoir trouver « l’arrière grand’mère du petit neveu au 3e degré de Louise Streissler « ou bien la propriétaire de la boucle d’oreille photographiée sur un lobe . Il fallait savoir faire une mayonnaise et aussi courir avec une pomme de terre dans une cuillère. Il fallait assembler le puzzle d’une photo de famille sur l’escalier et y repérer la femme de celui dont le visage manquait. Sens de l’observation, qualités de détective, un peu d’habileté et beaucoup d’imagination.
Pendant que les joueurs s’activaient et s’amusaient, certains piétinaient. Un apéritif fut servi sous le chêne. Un verre à la main, il fut alors amusant de voir les équipes se disputer les compétitions pour le placement final.
Vint ensuite le chant de bienvenue. Anna avait écrit ces quelques lignes et prévu la mélodie en son temps. La semaine précédente, tous les jours à 18h.30 pile, elle dirigeait une répétition de chant avec les amateurs, dont le nombre s’accroissait avec les arrivées. Nanick dit ensuite un mot de bienvenue. Christoph annonca les gagnants de la chasse au trésor. Ce fut l’équipe « Sherlock Holmes qui gagna et Sissela distribua un T-shirt commémoratif aux six gagnants.
Enfin le pique-nique ? Non, pas encore...
Certains de nos invités insistèrent pour que, malgré la réticence des affamés, l’on tente de prendre une photo de tous. Ainsi fut fait.
Vers 2 heuresce fut enfin le pique-nique sous la tente prétée par la commune d’Eglise Neuve d’Issac. Chacun avait généreusement apporté. Cela rappelait l’abondance du pique-nique annuel de la Blénie avec, entre autres, la même tarte géante que Gaëtane y fournit chaque année.
L’après-midi ballon-au-prisonnier et football s’organisèrent dans la prairie du Chalet. A noter qu’il s’agit d’un endroit que nos parents, dans les années trente, ont aplani pour en faire un tennis de fortune.
Il y eut aussi un atelier de peinture dans la cour. Il réunit des amateurs de tout âge, certains, acharnés, poursuivirent leur travail jusqu’à 7 h. du soir. Les 18 tableaux vont paraître sur le blogg.
Vers 5 h divertissement musical sur la terrasse. Guy Meyer s’accompagnant de la guitare chanta trois chansons, Nuit et Brouillard de Jean Serrat, Nous dormirons ensemble de Louis Aragon et Jean serrat et Les Retrouvailles de Grame Allwright. Puis ce fut le choeur des Gaumes pour un Frère Jacques en canon et en quatre langues, francais, allemand, anglais et suédois. Enfin Anna termina par Summertime de Gershwin.
Petit à petit tous nos invités partirent. Il ne resta plus que la famille des Gaumes et de Pyraine, c’est à dire une centaine de personnes.
Ce fut alors le concours de pétanque annuel. Traditionellement ce sont les Mullenheim qui l’organisent à Pyraine. Mais cette fois-ci, étant tous sur place, cela se passa dans la cour des Gaumes. En un rien de temps quatre ou cinq équipes furent en course, chacune se délimitant le terrain nécessaire entre les amateurs-peintres qui, assis ou couchés par terre ici et là, continuaient à peindre ou dessiner. Quelques uns se retiraient pour un petit somme, ou simplement le besoin d’un peu de solitude. Nanick, un tant soit peu peu vidée, proposait à Micheline, non moins sur les genoux, de s’asseoir une petite demie-heure dans le calme du salon avec un verre de whisky. Max arriva brusquement pour demander : Qu’avions-nous prévu pour le diner ? Nous avions quand même une centaine de personnes qui allaient bientôt découvrir qu’elles avaient faim et qui, sans aucun doute, désiraient finir la journée ensemble. Rien, nous n’avions rien prévu. Il fallut improviser.
Non moins imprévu : Christophe de Mullenheim annonce une surprise : une fanfare arrive. Est-ce une plaisanterie ? Mais non. C’est vraiment une surprise, même pour lui. Un de ses copains de Paris vient de l’appeler sur son portable. Où que soit Christophe, à Paris ou ailleurs, il doit lui donner un renseignement sur la Dordogne. En effet ce copain, membre de la fanfare de la faculté de médecine de Paris, se promène avec cette fanfare depuis une semaine. Tous les jours ils jouent pour les locaux, demandant en contrepartie le gîte et le manger. Ils se trouvent être en Dordogne ce soir-là et recherchent le nom d’un château où les scouts avaient campé une année. Faute de château ils atterissent dans la cour des Gaumes. Et les parties de pétanque se terminent au rythme des cuivres tandis que les enfants dansent autour. Le manger ? Qu’à cela ne tienne. Trouver pour 100 ou 109, c’est du pareil au même. Par contre pour le gîte c’est un niet sans appel. Pas un grenier de libre, pas le moindre petit matelas. Nos Fanfarons devront planter leur tente à côté de celle des jeunes des Gaumes dans le champ d’en face.
Revenons-en au diner : il y eut un moment critique.
Max, Brigitte, Nanik se concertent . Chacune de nos six unités compte entre 10 et 25 personnes à sa charge. C’est un peu « La cigale et la fourmi ». Seul, Max a prévu. Il a un veau-aux-carottes prêt pour sa maisonnée. Nanik comptait sur les restes du pique-nique pour la sienne. Brigitte un peu pareil. Les restes ? Quelques morceaux de poulet dans un sac de plastique, deux ou trois emballages de charcuterie sous plastique que personne n’a trouvé bon d’ouvrir. Guère plus. Il y a un sérieux inventaire des réserves à faire. Brigitte part à Pyraine pour chercher le gigot du lendemain qu’elle est prête à sacrifier. Charlotte, alertée, se propose d’aller voir avec Nicole, sa belle-mère. Elle-même fera deux kilos de riz avec sauces diverses, à la mangue, au carry etc... Nanik met sur le feu un autre kilo de riz à assaisoner au beurre comme ses petits-enfants l’aiment tant. Elle rencontre Anna qui s’active déjà autour de spaghettis en sauce. Les du Plessis trouvent ce qu’il faut pour une grosse salade. Les Revel récupèrent bon nombre de saucisses restant des provisions des jours derniers. Nicole sort de son congélateur 50 des excellentes saucisses faites maison de Jacky Rousseille. Brusquement Nanik se rappelle que seulement une moitié du mouton livré trois jours avant par le dit Jacky a été mangée. Il en reste tout antant, justement préparé en tranches pour le grill. Stéphane apporte son énorme appareil à grill des jours de fête.
A la tombée de la nuit, une centaine des descendants Beauchaine se retrouvent à nouveau, avec nos neuf fanfarons en plus, autour d’un buffet-grill. La tente est bien utile, la fraîcheur tombant vite. Et à nouveau tout fut fini, nourriture et boisson, jusqu’à la dernière goutte.
Les départs s’échelonnèrent ensuite sur plus d’une semaine. Pour les Sjögren le matin du 15 août à 9h.45 - exactitude suédoise oblige - trois voitures avec cinq partants chacune quittaient la cour des Gaumes. Une heure plus tard, c’était les six Petite qui regagnaient Toulouse. Etc... etc... jusqu’au dimanche 25 août avec le point final qui fut quand Jérome et Marion prirent le chemin pour Paris avec leurs grands-parents.

Plusieurs demandèrent à quand la prochaine fois. A des jeunes qui posaient la question Annick répondit sans trop calculer : « Dans cinq ans ».Réplique des jeunes : « Et c’est nous qui nous en occupperons ». Parfait, les jeunes, à vous de jouer. Et bien-sût ce sera d’une autre facon. C’est ca, la tradition.

02 janvier 2007

bonne année 2007

Bonne année 2007
Gott nytt är 2007
prost newjahr 2007
happy new year 2007

Luthold et Brigitte

Merci et de tout coeur à vous tous
encore une autre version:
Gutes neues Jahr
Annick et Andreas